Habituellement j'aime leur analyse détaillée de la conduite de la voiture. Et ce numéro, bien que plus succinct dans l'analyse, est une sorte de feu d'artifice final.
Cette année, je ne comprend rien.
On apprend par exemple que le moteur de la Mini Cooper S est poussif, et aux paragraphes suivant, il respire comme il faut. Il est ensuite coupleux avant d'avoir un creux à la réaccélération.
Le chapitre châssis n'est pas épargné. La BMW 235i a ainsi un sous-virage chronique, lourde à rentrer dans les virages, puis un très bon train avant remarquable.

J'arrête là la description, tout est à l'avenant. Alors c'est vrai que j'ai pioché des avis de pilotes différents, sur piste et sur route, mais l'ensemble laisse une impression d' incohérence, il serait bon que quelqu'un relise le machin ou explique les avis divergents. Je reste sur ma faim.
